L’Orgue de choeur de l’église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-Luz
(Pyrénées Atlantiques)
16 jeux, 2 claviers / pédalier
Sous l’impulsion de l’organiste paroissial Charles Lebout, qui dirige alors la Schola Donibane, la paroisse décide en 1930 de faire construire
un orgue de choeur. Elle confie le chantier « au facteur d’orgues le plus réputé du moment, « Victor Gonzalez, qui réutilise
une partie du matériel datant du XIX° siècle (soufflets, claviers). L’instrument fut offert par une bienfaitrice de la paroisse.
L’orgue présente la double particularité d’être construit dans un buffet à angle droit, suivant l’encoignure d’un mur. Et de ne pas avoir de tuyaux de façade, le buffet se résumant aux deux boites expressives placées à angle droit, surmontant une console retournée. Cet instrument est inauguré le 27 novembre 1931. il comprenait 8 jeux et la traction des notes était électropneumatique. Ce système ne s’avéra pas satisfaisant : moins de quarante ans plus tard l’instrument  » rendit l’âme tous les hivers « . Le facteur dacquois Robert Chauvin le remania donc en 1972, installant une transmission électrique et augmentant le nombre de registres.
En juin 2017 la paroisse lance une souscription; en 2018 l’instrument fit l’objet d’une restauration par la manufacture d’orgues Pellerin & Uys, située à Montfort en Chalosse (Landes).
La soufflerie est reconstruite, la tuyauterie restaurée, les mécanismes de traction des notes et des registres sont électrifiés (avec capteurs électromagnétiques à effet Hall), les claviers sont entièrement refaits à neuf. Les deux rangs de la Sesquialtera de Chauvin sont séparés en Quinte et Tierce, et une Flûte Harmonique est ajoutée dans le soubassement de l’instrument, permettant des extensions à la pédale. L’inauguration a lieu le 22 avril 2019.
L’orgue présente la double particularité d’être construit dans un buffet à angle droit, suivant l’encoignure d’un mur. Et de ne pas avoir de tuyaux de façade, le buffet se résumant aux deux boites expressives placées à angle droit, surmontant une console retournée. Cet instrument est inauguré le 27 novembre 1931. il comprenait 8 jeux et la traction des notes était électropneumatique. Ce système ne s’avéra pas satisfaisant : moins de quarante ans plus tard l’instrument  » rendit l’âme tous les hivers « . Le facteur dacquois Robert Chauvin le remania donc en 1972, installant une transmission électrique et augmentant le nombre de registres.
En juin 2017 la paroisse lance une souscription; en 2018 l’instrument fit l’objet d’une restauration par la manufacture d’orgues Pellerin & Uys, située à Montfort en Chalosse (Landes).
La soufflerie est reconstruite, la tuyauterie restaurée, les mécanismes de traction des notes et des registres sont électrifiés (avec capteurs électromagnétiques à effet Hall), les claviers sont entièrement refaits à neuf. Les deux rangs de la Sesquialtera de Chauvin sont séparés en Quinte et Tierce, et une Flûte Harmonique est ajoutée dans le soubassement de l’instrument, permettant des extensions à la pédale. L’inauguration a lieu le 22 avril 2019.
| Grand orgue | Récit expressif | Pédale |
| 56 notes | 56 notes | 30 notes |
|
Bourdon 16 Flûte harmonique 8 Bourdon 8 Prestant 4 Quinte 2’2/3 Doublette 2 Tierce 1’3/5 |
Flûte 8 Flûte 4 Plein Jeu III Trompette 8 |
Soubasse 16 Flûte 8 Bourdon 8 Flûte 4 Flûte 2 |
Accessoires : Tirasses I et II – Accouplements II 16’/I, II 8’/I et II 4’/I, II16’/II et II4’/II – Annulation 8’/ I – Tremblant – Expression I et II Ã bascule